Imaginez un roman policier où l'on renoncerait, après avoir eu l'appétit aiguisé de rebondissements en fausses pistes, à connaître l'intrigue, le cœur soulagé, trois pages avant la fin. Mais l'image...

Imaginez un roman policier où l'on renoncerait, après avoir eu l'appétit aiguisé de rebondissements en fausses pistes, à connaître l'intrigue, le cœur soulagé, trois pages avant la fin. Mais l'image...
Juste un peu de surf au milieu d'une mer de clichés. 22/02/1982
L.A. Confidential possède une assise historique et une épaisseur presque tactile qu'on n'a vues dans aucun film hollywoodien depuis Chinatown.08/10/1997
La bonne gestuelle et l'intéressante trame narrative auraient mérité un meilleur graphisme, plus proche des normes du petit écran que de la qualité cinéma.
Le film n’oublie jamais qu’il n’est qu’un récit, où la réalité ne se reflète que dans l’imaginaire : une histoire racontée par un romancier mythomane, lui-même soumis aux rêves extravagants de sa mère...
La Haine est un film réellement grave et c’est plutôt par la peau du cou que par la main que Kassovitz nous saisit, comme si c’était la seule manière de regarder la merde en face. (…) La Haine n’est...
En clair, prévoir longue palabre sur le trottoir après la projo et lente digestion de ce pudding théorique.
[...] des merveilles aux approches radicalement différentes : la mort y est chamanique, absurde et slapstick, mélancolique ou encore gastronomique.
La dénonciation des tabous [d'Atiq Rahimi] est terrible. "Syngué Sabour" est aussi un film de guerre qui pourrait se passer ailleurs. Et la bouleversante Golshifteh Farahani témoigne que ni le voile...
Ce manège immersif assez plaisant - réellement efficace plutôt que fétichiste - est malheureusement plombé par une débauche délirante de clins d’œil inutiles et une intrigue qui mime la complexité.