Dire que "Stalker" est un film sublime (il sublime le matériau cinématographique) est peut-être, pour une fois, à entendre au sens littéral. Cahiers du cinéma 330, décembre 81
"Stalker" (…) évoque le dépouillement, l'angoisse existentelle, les préoccupations métaphysiques chers au Bergman du "Silence" et de "Persona". Positif 232-233, juillet 80
Tarkovski gagne haut la main. L'intelligence et la complexité de son propos (…), la puissance d'une mise en scène dont une bande son remarquablement travaillée accentue le caractère envoûtant, font du Stalker un monument. Le Monde, 15 mai 80