Le premier film américain de Fritz Lang conserve une force extraordinaire Cet apologue social est dépourvu de tout didactisme, et la seconde partie, faisant du héros un monstre vengeur, est encore plus impressionnante que la première Même après son happy end obligé, il s'en dégage un pessimisme noir, à peine tempéré par la fragile douceur du visage de Sylvia Sidney.