2
Les rares batailles et le duel final de ce film (teasé en ouverture en un flash-forward pataud) s'éclipsent derrière un versant presque montypythonesque qui semble amuser les scénaristes-acteurs.
5
Si la romance et le noir sont présents de manière plaisante (…) c'est l'aspect "film sur Hollywwod" qui intrigue et fascine le plus dans L.A. Confidential. N°517, octobre 1997
3
"Drive" tranche pour une ligne claire et une recherche d'hypnose visuelle et sonore héritée des polars urbains magnétiques des années 80 afin de jouer sur tous les tableaux. Il multiplie les effets de saute qui menacent sa belle ligne d'intensité.
4
Au lieu de prévoir le grand ras-le-bol qui va soulever l'Amérique, Lumet force le spectateur à s'intéresser à eux, à leur naïveté, à leur bêtise, en identifiant le point de vue de celui-ci à celui des otages. Cahiers du cinéma 268-269, juillet-août 76